12 novembre 2010

NOTE PLUS ANCIENNE
Génération 2012 : Ce que nous voulons Razzy Hammadi publie "Gauche. Génération 2012 : ce que nous voulons" aux éditions Armand-Colin. La gauche a-t-elle quelque chose de nouveau à dire ? Un ouvrage détonnant dans le paysage politique actuel qui remet en cause la manière d’aborder la politique et le projet socialiste dans ce qu’il propose actuellement et pour 2012. Un essai constructif qui répond aux questions que se posent l’électorat de gauche et tous les citoyens sur l’avenir de leur pays. La récente victoire aux Régionales, l’embellie des sondages et l’esprit d’unité retrouvée engagent-ils la gauche sur la voie de la reconquête ? L’auteur en est convaincu. Encore faut-il que cet espoir sonne l’heure des choix et permette aux socialistes d’aborder l’ensemble des défis et des contradictions qui les traversent. Aucun sujet ne doit être évacué. Ce sont là les conditions pour construire une Gauche à la fois crédible et populaire. Jeune secrétaire national du Parti Socialiste, Razzy HAMMADI, par son parcours personnel, professionnel et politique atypique, par son engagement tenace, expose dans ce livre ses convictions et ses ambitions pour « une autre France ». Que ce soit en politique étrangère, pour l’entreprise, l’éducation, l’économie, les services publics ou encore les banlieues, les mesures sont claires et précises, les choix assumés. S’appuyant sur son vécu, il évoque ruptures et nouvelles orientations. Une génération politique, la génération 2012, par l’un des siens, relève le défi, pour l’alternance mais surtout l’alternative. C’est l’enjeu de ce livre qui paraît aux Editions Armand Colin.
NOTE PLUS RECENTE
Edito 3 : Hausse des prix de l’immobilier Les derniers chiffres communiqués par les Notaires de France sur le montant des transactions immobilières du deuxième trimestre 2010 laissent apparaître une hausse annuelle des prix desappartements anciens de 6,3% au national et de 4,3% en province. La crise du logement est un des principaux maux dont souffre la société Française. Le prix du logement a doublé en 10 ans. Suite à cela, il y'a bien évidement dégradation du pouvoir d'achat des méanges qui subissent cette hausse en tant qu'accédants à la propriété. Cette crise a trois causes : la pénurie, la spéculation et une politique de la Droite contraire aux besoins des classes moyennes et populaires. La Droite a alimenté la spéculation par des dispositifs comme la "loi Scellier", qui sont des cadeaux fiscaux coûteux aux investisseurs, sans exigence de construire des loyers modéré. Le slogan du candidat Sarkozy "tous propriétaires" ne se traduit par aucune réalité et le financement du logement social est en diminution depuis deux ans. L’écart ne cesse de se creuser entre les revenus des ménages et les prix de l’immobilier, accentuant l’inégalité face à l’accès à la propriété comme au logement, et accroissant sans cesse la part des dépenses consacrée à se loger. A cognac, l'ensemble des profesionnels de l'immobilier le reconnaissent, le marché est difficile. Le constat de la baisse des taux d'intérêt qui aurait dû permettre une amélioration de la situation des accédants modestes ou des primos-accédants n'a eu aucun effet car la hausse des prix de vente des maisons n'a cessé de progresser depuis des mois. Les inégalités sociales s'accroisent de jour en jour. Afin d'y remédier il faudrait que le Gouvernement prennent des mesures de régulation des prix dans les zones où cela devient de plus en plus difficile de devenir propriétaire. Il faudrait également abandonner des dispositifs que la "loi Scellier" et prendre des mesures appropriées afin de contenir la flambée des prix et favoriser la mise en production de logements destinés à une clientèle à revenus modestes. Les prix de l'immobilier n'ont pas vocation à monter indéfiniment. Pour corriger les excès de la période précedante, la Gauche, si elle l'emporte à l'Election Présidentielle doit se donner comme objectif la baisse raisonnée des prix du logement et des loyers dans le privé. Cette baisse rendra du pouvoir d'achat aux ménages. Il n'est pas normal qu'aujourd'hui une famille soit contrainte de dépenser plus de 25% de budget au logement.

Jonathan MUNOZ

En concubinage, 2 enfants, secrétaire de section Pays-de-Cognac

Parti Socialiste section de Cognac

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